Cote/Cotes extrêmes
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Cet inventaire est moissonné selon le protocole OAI-PMH par les Archives de France pour le portail francearchives.fr
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Biographie ou Histoire
En 1735, une correspondance isolée nous apprend que — plus de quinze ans après sa faillite — Alibert répond à la raison sociale de « libraire à Delémont ».
François-Louis Rigoine ( 1749), fils de Louis ( 1716), lui aussi imprimeur (puis conseiller au Parlement), fut associé à Alibert de 1703 à 1712.
L'imprimerie Alibert (-Daclin) échue à Etienne Cotheret et Pierre Grasset, par le traité de janvier 1719 est revendue par eux à Claude Rochet et F.-J. Daclin, par le nouveau traité de septembre 1719.
La papeterie d'Arcier a été exploitée par Rigoine puis en 1715-1716 par Alibert et Daclin puis en 1719-1722 par Cotheret et Grasset, propriétaires en vertu du traité de 1719. A partir de 1735, on la retrouve exploitée par Rochet et Daclin. Ce sont aussi les membres des deux familles qui interviennent après 1719 dans la liquidation des créances de la faillites Alibert.
Présentation du contenu
Alibert seul, dettes actives : procédures, correspondances, mémoires et reconnaissances (1702-1715 ; 1735-1736).
Alibert et François-Louis Rigoine, privilège d'imprimer les livres liturgiques à l'usage du diocèse de Besançon : procédures et correspondances (1693 - concerne Louis Rigoine, le père ; 1706-1709). Dettes actives : procédures, correspondances, mémoires et reconnaissances (1690 - semble concerner Louis Rigoine, le père, davantage que le fils ; 1703-1710). Inventaire de l'imprimerie (1712).
Alibert et François-Joseph Daclin, dettes actives : procédures et reconnaissances (1713-1715). Faillite, formalités du bilan : inventaires de l'imprimerie (1714-1716) et des dettes passives (1718-1724) ; bilan et atermoiement (23 décembre 1716) ; traités avec les créanciers principaux, Etienne Cotheret, de Dijon, et Pierre Grasset, d'Auxonne (2 janvier et 10 septembre 1719). Dettes passives : reconnaissances, contrats et liquidation de créances issues de la faillite - en particuliers titre relatif à la papeterie d'Arcier (1714-1758).
Mode de classement
Le bilan Alibert (Daclin) n'a pas été répertorié en 1780 dans la section correspondante des papiers du greffe (voir inventaire 15 B 26-27) ; nous n'avons donc pas cru devoir l'extraire ici des papiers de marchands pour l'introduire après coup dans la partie « bilans » de notre propre classement.
Bien que les membres des familles Rochet-Daclin interviennent après 1719, dans la liquidation des créances de la faillite Alibert, ces titres nous ont paru toutefois mieux à leur place ici que parmi les papiers des affaires Rochet-Daclin de « première origine », classés en 15B1306-1320.
Documents en relation
Alibert et François-Louis Rigoine, voir aussi : 7E3410, 3554, 3998, 4054 et 4096.
Alibert et François-Joseph Daclin, voir aussi : 7E2921 et 3828.
Dossier relatif à la succession Rigoine, voir aussi : 30 J 3 (1710-1784).
Pour l'inventaire de l'impirmerie dressé en 1719, voir aussi : 15B1306.
Papeterie d'Arcier exploitée par Rochet et Daclin, voir aussi : 15B1317-1319
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