15B Justice consulaire de Besançon

Déplier tous les niveaux

Cote/Cotes extrêmes

15B1-1470

Date

1609-1806

Notes

Cet inventaire est moissonné selon le protocole OAI-PMH par les Archives de France pour le portail francearchives.fr

Cote/Cotes extrêmes

15B26-15B215

Date

1712-1793

Notes

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Cote/Cotes extrêmes

15B188-15B215

Date

10 mai 1726-29 avril 1790

Présentation du contenu

Dates extrêmes des dépôts de bilans. Mais les pièces jointes à ceux-ci couvrent un laps de temps plus grand, du 28 juillet 1712 au 9 février 1793.

Mode de classement

Jusqu'en 1780, date de l'inventaire ancien 15B26-27, chacune de ces pièces est cotée à l'intérieur de chaque dossier, et cet inventaire récapitule le nombre de cotes contenues dans chaque dossier (sans leur détail, toutefois) : après 1780, les vérifications que permettait cette cotation ancienne ne sont donc plus possibles. Cependant, on s'est efforcé d'en respecter l'esprit pour décider, en quelques cas, après cette date, de l'appartenance de telle ou telle pièce aux bilans plutôt qu'aux papiers de marchands (ou vice-versa), qui n'en sont d'ailleurs que le prolongement. Certes, en règle générale, les pièces produites rétrospectives (comptabilité et titres divers du déposant) ont été dès l'origine classées à part (comme il apparaît nettement pour les livres de comptes dans l'inventaire de 1780), et constituent la troisième partie de notre répertoire ; mais il arrive plus d'une fois que des formalités mêmes du bilan (bilan lui-même, délibérations des créanciers) se retrouvent, en originaux ou, plus souvent, en copies, parmi les papiers de marchands , fractionnant ainsi, d'une certaine manière, l'ensemble documentaire relatif à un seul et même marchand entre les deuxième et troisième sections de notre répertoire : des renvois sont alors faits, en notes, de l'une à l'autre. En outre, concernant la constitution même des dossiers après 1780, les formalités relatives à un même bilan et se succédant sur plusieurs mois, voire deux années consécutives, sont toutes regroupées avec ce bilan ; en revanche, une solution de continuité de plus d'un an entraîne la constitution d'un nouveau dossier ; des renvois sont systématiquement faits, bien sûr, entre les dossiers de bilan d'un même négociant ainsi classés à des dates différentes. Enfin, le classement des bilans, tel qu'il apparaît en 1780 et tel que nous l'avons poursuivi, ayant été conçu selon l'ordre chronologique de leur dépôt au greffe, c'est la date de ce dépôt qui figure dans nos analyses (conformément ici aussi, à celles de l'inventaire de 1780) ; toutefois, pour les dossiers les plus volumineux, dont les formalités s'échelonnent sur un laps de temps de plusieurs mois (au moins plus d'un trimestre), voire d'un an (règle presque générale dans les années quatre-vingts), nous avons cru utile de préciser aussi la date de la pièce la plus récente et même la plus ancienne. Quant à l'identification des marchands déposants, elle comprend, outre leurs nom et prénom(s), le lieu de leur négoce, s'il s'agit d'une localité autre que Besançon, et la qualité de celui-ci, quand elle a pu être déterminée. A cet égard, on ne perdra pas de vue que les catégories professionnelles n'étaient pas, alors, toujours nettement tranchées, si bien que les termes retenus pour les désigner ne caractérisent souvent que l'aspect dominant d'un négoce donné, au détriment d'activités annexes.;

Bilans déposés en 1772-1773

Cote/Cotes extrêmes

15B203

Date

10 janvier 1772 -26 mars 1774

Présentation du contenu

Claude-Jacques Maillot, drapier (?) à Gray (10 janvier 1772). Deuxième bilan.
Jean-François Lugand, marchand- forain à Longchaumois (14 janvier 1772 ; formalités jusqu'au 19 mai 1772). La cote 1 manque.
Ignace Faivre, libraire-relieur à Pontarlier (29 janvier 1772).
Joseph Laurent, forge de Vertamboz, demeurant à Lons-le-Saunier (8 avril 1772).
François-Alexis Mercier-Suzanne, au Cerneux-Péquignot (14 mai 1772).
Pierre-Louis Mouthon, épicier-quincaillier-droguiste à Luxeuil (25 mai 1772).
Simon Oudot, de Chauvirey, fermier des revenus des abbayes de Saint-Bénigne et Cherlieu, forges et fourneaux de Geugnon et Tartecourt (3 juillet 1772).
Jean- Baptiste Buffard, drapier aux Rousses (10 juillet 1772).
Jean Dumarais, marchand forain à Chemaudin (16 juillet 1772).
Jean-Claude Mouret-Bailly, drapier à Longchaumois (27 juillet 1772).
Jean-François Vuillaume, épicier-droguiste (5 août 1772).
Pierre-Antoine Girardot, drapier-passementier à Baume (-les- Dames ?) (16 août 1772 et formalités du 13 mars 1782).
Veuve Munier et Pelay, épiciers (11 octobre 1772).
Jean-Baptiste Girardot, à Baume (-les-Dames ?) (15 octobre 1772).
Pierre Morizot, chapelier (21 novembre 1772). La cote 4 manque.
Henri Duchassal, marchand forain à Vesoul (19 décembre 1772).
Pierre-François Girardot, à Champagnole (30 janvier 1773).
Jacques-Philippe Chaboz, libraire (27 mars 1773).
Jean-Claude Mouffet, toilier-épicier-quincaillier à Port-sur-Saône (29 mars 1773 ; formalités jusqu'au 26 mars 1774). Deuxième bilan.
Jean-Nicolas Viard, à Arsans (17 juin 1773 ; formalités jusqu'au 27 septembre 1773).
Jacques Laroche, libraire (27 juin 1773).
Jean Miot-Pelit, sellier à Jussey (13 juillet 1773).
Claude Gentil-homme, à Jussey (23 décembre 1773).

Documents en relation

Pour Claude-Jacques Maillot, voir 15B201 (18 avril 1769).
Pour Jean-Claude Mouffet, voir 15B198 (5 février 1762).
Pour Jean Miot-Pelit, voir aussi 15B206 (11 février 1780).